Résumé :
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Refus et suppression de soins par les hôpitaux, diagnostics non réalisés ou retardés, tri des patients, isolement, négligences, voire maltraitances en maisons de repos, pénuries de médicaments… La liste des droits des patients bafoués depuis le début de la crise du Covid-19 s’étire à n’en plus finir. La participation des patients à leur santé et aux politiques de santé a pris du plomb dans l’aile. Celle des soignants, médiateurs indispensables, aussi. Submergé de consignes, chamboulé, le personnel des maisons de repos n’a pas vraiment eu l’occasion de faire dans la gestion participative, même si, çà et là, des démarches de facilitation ont été entreprises. Cette « expertise collective » est pourtant essentielle pour garantir la démocratie en santé...
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