Résumé :
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La fin de l’accompagnement n’est guère chose facile et peut déstabiliser plus d’un intervenant social, générant frustration ou impression d’inachevé. Elle peut aussi être riche d’enseignements. Prise dans les scénarios de l’intervention sociale, brassée par des logiques et stratégies singulières, inscrite dans la genèse et la structure de l’accompagnement, la fin gagne à être travaillée en analyse des pratiques professionnelles. Pour penser, avec les usagers, une éthique de la co-construction de l’accompagnement et de sa fin nécessaire.
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