Résumé :
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En France, au moment de la rupture du couple parental, des mères se retrouvent face à un mur à savoir des lois et des pratiques socio-judiciaires inadaptées. Celles-ci favorisent non seulement la poursuite du contrôle coercitif par l’agresseur, mais ramènent également des femmes sous le contrôle des institutions. Cet article vise à mettre en lumière l’influence des stratégies discursives et législatives des groupes de pères séparés et divorcés. Nous aborderons ensuite la nécessité d’y opposer une contre-argumentation et de mettre en avant l’état de la recherche sur le continuum des violences.
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