Résumé :
|
Vieillissement de la population, « maladies de société » dues notamment à l’alimentation et au stress, développement des maladies chroniques : la première ligne de soins sera de plus en plus sollicitée pour le suivi ambulatoire de maladies « qui sortent de l’hôpital ». À cela s’ajoute une augmentation de la précarité menant à des situations de plus en plus complexes qui nécessitent davantage de multidisciplinarité. Pour répondre à ces enjeux, le financement des soins de santé devra être adapté. Comment, tout en construisant l’accueil dans nos structures, construire une société accueillante et en même temps déconstruire le néolibéralisme qui l’asphyxie ?
|