Résumé :
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Longtemps considérées comme un ‘mal nécessaire’ (conséquence d’un autre fléau social, le travail des mères de famille), les crèches apparaissent aujourd’hui comme un bien public indispensable, au même titre que l’éducation. Depuis quelques décennies en effet, ce mode éducatif fait l’objet d’une reconnaissance sociale et politique. Cependant, les faiblesses de ce secteur restent patentes tant au niveau quantitatif qu’au niveau qualitatif, aspect plus rarement abordé. L’auteur de cet article souligne la nécessité d’une approche globale pour améliorer l’équité en matière de services à la petite enfance
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