Résumé :
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La plupart des écoles sont conscientes de la nécessité de mieux connaître la réalité socioculturelle des familles de leurs élèves, mais elles ne réalisent pas ce que ça implique comme modification de savoir-être et de posture. Elles veulent bien une solution cosmétique mais pas de changement en profondeur. Pourtant, nombreuses sont les équipes éducatives des écoles de quartier populaire qui font la demande de formation à la communication interculturelle. Elles sont très intéressées par cette démarche en trois étapes (décentration, empathie, négociation). Mais sur le terrain, leur enthousiasme retombe et la routine les rattrape
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