Résumé :
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La cloche a sonné début septembre : la rentrée, c’est déjà du passé pour les 190.000 enfants de maternelle, 331.000 élèves de primaire, 368.000 élèves de secondaire et les 100.000 enseignant·es de la Fédération WallonieBruxelles. Après le rush, axelle prend du recul et regarde notre école dans les yeux. Si les résultats de notre enseignement sont médiocres en comparaison avec d’autres pays industrialisés, ce n’est pas uniquement une question financière : c’est la conséquence des profondes inégalités qui le traversent. Face à la précarité de nombreuses familles, l’école échoue dans sa mission de favoriser l’émancipation de chaque élève et crée une véritable ségrégation sociale et ethnique. Face aux inégalités entre les filles et les garçons, l’école ne parvient pas à atténuer l’impact des stéréotypes de genre et des discriminations sexistes. Pourtant, des initiatives existent, qu’elles soient le fait de personnes isolées – et dévouées – ou de plus larges collectifs. Tour d’horizon.
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