Résumé :
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Dans le contexte des évolutions restreignant les droits sociaux accordés aux étrangers, notamment aux sans-papiers, les femmes victimes de violences conjugales, tout comme les associations féministes de travail social, se trouvent fragilisées. Le statut juridique de ces femmes étrangères accroît leur précarité et diminue leur marge de manœuvre pour sortir des violences. Et les travailleuses sociales ont peu de possibilités pour agir sur ce sujet en raison du cadre législatif et de l’absence de subventions pérennes et dédiées
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