Résumé :
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Comment soigner une personne quand on ne parle pas la même langue ? Comment établir un diagnostic fiable quand le patient ne comprend pas les questions posées ? Que reste-t-il du secret médical quand des tierces personnes, parfois des enfants, sont utilisées comme “interprètes de fortune” ? En France, l’interprétariat professionnel peine à trouver sa place dans le monde médical. Pour l’établissement du diagnostic, l’usage des médicaments ou la prévention, il constitue pourtant un relais essentiel entre les soignants et les populations qui parlent peu ou pas le français
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