Résumé :
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Le monopole public des fréquences modulées (FM) a été cassé à la fin des années 1970 par le mouvement des radios libres. Mais un glissement s’est opéré dans les années 1980 et 1990, voyant ces fréquences associatives rachetées par des radios commerciales, lesquelles n’ont cessé de se développer en réseaux, tout en se concentrant dans les mains de quelques groupes financiers. Après la saga scientifico-politico-financière, traduisant les rapports de force entre État, entreprises et dynamiques associatives, le Plan de fréquence enfin conclu permet-il d’assurer la diversité culturelle, le pluralisme et la promotion de la pensée critique
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