Résumé :
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Au début des années nonante, nombre de communes comptant une population multiculturelle ont commencé à se préoccuper activement de cohésion sociale dans les quartiers populaires. Le cas de la commune bruxelloise de Schaerbeek illustre les aléas d’une telle politique, coincée entre complexité hétéroclite et éclectisme complexe. Deux sortes de dispositifs illustrent les potentialités d’une « politique communale de cohésion sociale ». Les maisons de quartier montrent l’intérêt d’inclure des dynamiques participatives dans les programmes de cohésion sociale tandis que les éducateurs de rue représentent un de ces nouveaux métiers qui se sont très fort développés dans les dix dernières années - métier clé, car il est l’un des seuls à affronter la question de la socialisation des adolescents
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