Résumé :
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"La logique économique fonctionne en termes de produits et de profits. Le secteur de la santé n'échappe pas à cette logique, mais montre des spécificités, et même des ambiguïtés, liées au financement public d'un bien produit de manière privée. La recherche et la production de médicaments illustrent parfaitement cette problématique. Ici, face aux priorités économiques des firmes, la ""première ligne"" pourrait être constituée par le ""collectif"" des usagers et de leurs représentants qui, au nom du financement solidaire du secteur, détermineraient les priorités de la recherche et de la distribution en fonction non plus de dividendes financiers mais de dividendes sociaux et solidaires"
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