Résumé :
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"La décision de pratiquer ou non une alimentation artificielle en fin de vie est difficile à prendre. N'y a-t-il pas un impératif de nourrir l'agonisant, un devoir que tout dans notre culture et nos émotions nous pousse à accomplir ? Mais pratiquer l'alimentation artificielle, n'est-ce pas aussi apaiser nos angoisses, nous donner l'illusion de ne pas abandonner la personne mourante et réintroduire une forme d'acharnement thérapeutique ? Il n'existe pas de ""bonne réponse"" à ces questions, seulement des pistes pour prendre une décision que le soignant devra assumer"
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