Résumé :
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Les auteurs exposent avec une grande rigueur les déterminants et les conséquences d'un urbanisme non planifié qui se sont traduits durant les années 1970 à New-York par des actes de violence marqués par de pics d'incendies saisonniers, voire hebdomadaires et journaliers dans les quartiers pauvres. Ce fut, à cette époque, la cause du départ de New-York de près d'un million d'habitants appartenant aux classes moyennes. Les conditions physiques et sociales défavorables qui sévissaient dans la plupart des quartiers de New-York ont conduit inéluctablement au départ de nombreuses entreprises, et par conséquent à une dégradation majeure des fondements économiques. Cette étude qui traite les conséquences d'une certaine urbanisation à New-York durant les années 70, peut aider à comprendre les actes de violence que connaissent les grandes métropoles européennes.
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