Résumé :
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"Une mobilité toujours accrue et le plus souvent motorisée, une aspiration généralisée à produire plus en ""s'inactivant"" plus, le manque relatif de temps libre conduisent l'homme à adopter, avant tout par confort, par nécessité perçue, puis par habitude, des comportements sédentaires. Oubliée la sagesse antique associant étroitement le corps et l'esprit, nos comportements d'inactivité, non innés, sont acquis parfois dès le plus jeune âge. Si l'activité physique conduit généralement à un bénéfice sanitaire, l'inactivité quant à elle expose assurémént à un risque"
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