Résumé :
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En lisant No woman's land, nous ne sommes ni dans la peau du reporter, ni dans celle de Tchétchènes devenus demandeurs d'asil. Nous sommes face au récit constitué par un collectif à propos de la fuite, des raisons de la fuite échevelée de ses propres lieux de vie, à propos des forces de vie qui poussent à s'expatrier malgré toutes les embuscades des forces de mort. Nous sommes face à (...) un chemin bouleversé où souffrent la chair et les os, un parcours qui, pour la plupart d'entre eux, se poursuit ici, en Belgique, dans des conditions souvent incertaines, beaucoup trop incertaines
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